Le soleil se couche sur l'histoire de la peinture. Triomphe de l'image que les Salons de Baudelaire, sans doute. Mais c'est un triomphe au sens où l'entendent les baroques, une pompe funèbre. Read More
Le soleil se couche sur l'histoire de la peinture.
Triomphe de l'image que les Salons de Baudelaire, sans doute. Mais c'est un triomphe au sens où l'entendent les baroques, une pompe funèbre.
Si une phénoménologie de la perception vient relayer après coup l'œuvre de Flaubert, s’ouvrir à elle comme l’un de ses débouchés philosophiques, si l’œuvre de Flaubert de ce point de vue ne demeure pas sans postérité, c’est une fin en revanche que consacre la réflexion esthétique de Baudelaire.
Le règne de l’image s’éteint doucement à l’occident de la littérature. L’image s’enténèbre, cependant que monte cette aria, petite phrase plaintive qui naît tout juste où meurt le nom de Charles Baudelaire.
L’air de la pourriture, avec ses charognes mélodieuses, et ces cercueils qui chantent comme des boîtes à musique…
Table des matières
SEAMUS DEANE
Introduction
traduit par Sylviane Troadec
TERRY EAGLETON
Nationalisme : ironie et engagement
traduit par Ginette Emprin
FREDRIC JAMESON
Modernisme et Impérialisme
traduit par Pierre Lurbe
EDWARD W. SAID
Yeats et la Décolonisation
traduit par Jacqueline Genet
Note sur les auteurs
Note sur les traducteurs