Kaddish et Renaissance

La Shoah dans les romans viennois (1991-2001) de R. Schindel, R. Menasse et D. Rabinovici
Première édition

Le soleil se couche sur l'histoire de la peinture. Triomphe de l'image que les Salons de Baudelaire, sans doute. Mais c'est un triomphe au sens où l'entendent les baroques, une pompe funèbre. Lire la suite

Le soleil se couche sur l'histoire de la peinture.
Triomphe de l'image que les Salons de Baudelaire, sans doute. Mais c'est un triomphe au sens où l'entendent les baroques, une pompe funèbre.
Si une phénoménologie de la perception vient relayer après coup l'œuvre de Flaubert, s’ouvrir à elle comme l’un de ses débouchés philosophiques, si l’œuvre de Flaubert de ce point de vue ne demeure pas sans postérité, c’est une fin en revanche que consacre la réflexion esthétique de Baudelaire.
Le règne de l’image s’éteint doucement à l’occident de la littérature. L’image s’enténèbre, cependant que monte cette aria, petite phrase plaintive qui naît tout juste où meurt le nom de Charles Baudelaire.
L’air de la pourriture, avec ses charognes mélodieuses, et ces cercueils qui chantent comme des boîtes à musique…


Spécifications


Éditeur
Presses Universitaires du Septentrion
Auteur
Philippe Bonnefis,
Collection
Littératures de langue allemande
ISSN
17737710
Langue
français
Catégorie (éditeur)
Septentrion Catalogue > Lettres et civilisations étrangères > Pays germaniques et scandinaves
Catégorie (éditeur)
Septentrion Catalogue > Lettres et civilisations étrangères
Date de première publication du titre
01 mars 2012

Livre broché


Date de publication
2005
ISBN-13
9782859399009
Ampleur
Nombre de pages de contenu principal : 328
Code interne
946
Format
16 x 24 cm
Poids
594 grammes
Prix
21,00 €
ONIX XML
Version 2.1, Version 3

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SENS

- SENS 1 nov. 2008
Source
Y.C.
« le travail de Béatrice Gonzales-Vangell illustre cette réalité que le passe pèse toujours sur le présent et même sur l'avenir. Mais, en même temps, que le dépassement de l'échec est possible »